Le drame du décès de sa mère

Le cimetière du Père Lachaise à Paris (illustration) © LIONEL URMAN/SIPA
La mère de Mylène Farmer, Marguerite, est née en 1928 à Lennon, dans le Finistère, en Bretagne. Cette ancienne secrétaire administrative, devenue mère au foyer, est décédée le 8 juillet 2016. Elle repose depuis au cimetière du Père-Lachaise, à Paris, aux côtés de son époux, Max Gautier, né en 1925 à Marseille et mort en 1986.
Entre Mylène Farmer et sa mère, les choses n'ont pas toujours été faciles, à en croire un article de Paris Match. Elles n'auraient pas eu de contact pendant plusieurs années. Dans les colonnes de VSD, Marguerite Gautier confiait : "Lorsque Mylène a décidé de quitter le lycée, nous étions très fâchés. A l'époque, nous habitions à Chaville. Elle allait souvent dans un studio d'enregistrement avec des amis. C'est là qu'un jeune homme l'a repérée : Laurent Boutonnat. La première fois que je l'ai vue à la télé chanter Maman a tort, je me suis dit : 'Ça fera un bide'. Mais pas du tout, ça a fait un tube, comme on dit. Je suis fière d'elle."
La mère de Mylène Farmer, Marguerite, est née en 1928 à Lennon, dans le Finistère, en Bretagne. Cette ancienne secrétaire administrative, devenue mère au foyer, est décédée le 8 juillet 2016. Elle repose depuis au cimetière du Père-Lachaise, à Paris, aux côtés de son époux, Max Gautier, né en 1925 à Marseille et mort en 1986. Entre Mylène Farmer et sa mère, les choses n'ont pas toujours été faciles, à en croire un article de Paris Match. Elles n'auraient pas eu de contact pendant plusieurs années. Dans les colonnes de VSD, Marguerite Gautier confiait : "Lorsque Mylène a décidé de quitter le lycée, nous étions très fâchés. A l'époque, nous habitions à Chaville. Elle allait souvent dans un studio d'enregistrement avec des amis. C'est là qu'un jeune homme l'a repérée : Laurent Boutonnat. La première fois que je l'ai vue à la télé chanter Maman a tort, je me suis dit : 'Ça fera un bide'. Mais pas du tout, ça a fait un tube, comme on dit. Je suis fière d'elle."
© LIONEL URMAN/SIPA