Pas de quartier !

Les pirates n'aimaient pas particulièrement faire de quartiers... © Chisnikov - Fotolia

Autrefois, les quartiers de sauveté étaient des lieux où les troupes étaient en sécurité et où les soldats pouvaient se reposer. Ces cantonnements évoquaient donc la sécurité et les bons traitements.

Par la suite, un "quartier" a désigné une mesure qui permettait de laisser la vie sauve à des prisonniers. Le mot est devenu synonyme de "grâce", "vie sauve" ou "miséricorde". On employait alors les expressions "faire quartier" ou "ne pas faire de quartier" en fonction des décisions qui étaient prises quant aux captifs. En gros, ne pas faire de quartier signifiait massacrer tout le monde...

Depuis leur apparition au XVIIe siècle, seule la forme négative a subsisté. Elle signifie qu'une personne est impitoyable et ne fait preuve d'aucune tolérance.

Autrefois, les quartiers de sauveté étaient des lieux où les troupes étaient en sécurité et où les soldats pouvaient se reposer. Ces cantonnements évoquaient donc la sécurité et les bons traitements. Par la suite, un "quartier" a désigné une mesure qui permettait de laisser la vie sauve à des prisonniers. Le mot est devenu synonyme de "grâce", "vie sauve" ou "miséricorde". On employait alors les expressions "faire quartier" ou "ne pas faire de quartier" en fonction des décisions qui étaient prises quant aux captifs. En gros, ne pas faire de quartier signifiait massacrer tout le monde... Depuis leur apparition au XVIIe siècle, seule la forme négative a subsisté. Elle signifie qu'une personne est impitoyable et ne fait preuve d'aucune tolérance.
© Chisnikov - Fotolia