Bob Marley : reggae, ganja et football

Bob Marley ne se déplaçait jamais sans un ballon de foot à proximité de ses pieds. © Don Bullens

"Le foot c'est la liberté !", a toujours proclamé Bob Marley. La star jamaïcaine a été, toute sa vie, un passionné du ballon rond.

Dans la plupart des villes où le chanteur rasta est passé, il est allé jouer avec le club de foot local. On le retrouve ainsi, à la fin des années 70, tapant le ballon avec Henri Michel et le FC Nantes ou avec les professionnels du PSG.

Il joue au foot jusqu'à sa mort

Marley aimait se placer en milieu de terrain et ne jurait que par le football sud-américain. Il adorait les équipes d'Argentine et du Brésil, particulièrement Pelé. Pour ceux qui, à l'époque, ont pu le voir évoluer, il aurait pu faire une honnête carrière de joueur pro.

La légende veut qu'il soit décédé à la suite de l'infection d'une blessure au pied, survenue lors d'un match de foot. S'il est encore difficile de démêler le vrai du faux, il semble que cette infection à l'orteil qui a entraîné son amputation, a surtout permis au médecin de diagnostiquer une tumeur au cerveau qui, elle, provoquera sa mort en 1981.  

"Le foot c'est la liberté !", a toujours proclamé Bob Marley. La star jamaïcaine a été, toute sa vie, un passionné du ballon rond. Dans la plupart des villes où le chanteur rasta est passé, il est allé jouer avec le club de foot local. On le retrouve ainsi, à la fin des années 70, tapant le ballon avec Henri Michel et le FC Nantes ou avec les professionnels du PSG. Il joue au foot jusqu'à sa mort Marley aimait se placer en milieu de terrain et ne jurait que par le football sud-américain. Il adorait les équipes d'Argentine et du Brésil, particulièrement Pelé. Pour ceux qui, à l'époque, ont pu le voir évoluer, il aurait pu faire une honnête carrière de joueur pro. La légende veut qu'il soit décédé à la suite de l'infection d'une blessure au pied, survenue lors d'un match de foot. S'il est encore difficile de démêler le vrai du faux, il semble que cette infection à l'orteil qui a entraîné son amputation, a surtout permis au médecin de diagnostiquer une tumeur au cerveau qui, elle, provoquera sa mort en 1981.  
© Don Bullens