La religion avant tout

Neymar, "fils de Dieu". © PATRIK STOLLARZ AFP
Comme beaucoup de Brésiliens, Neymar est très croyant. Mais aussi très généreux. En 2010, il reverse 10 % de son salaire à l'église protestante que fréquentent ses parents. Et depuis, c'est à l'or­ga­ni­sa­tion Athlètes du Christ qu'il verse de l'argent tous les mois. Sur Twitter, il se présente comme "fils de Dieu, du Père, heureux et auda­cieux".

Et il n'hésite pas à sortir lors des soirs de victoires, comme en Ligue des champions en 2015 avec le Barça, le bandeau "100 % Jésus", qui a d'ailleurs fait polémique. Neymar fut accusé de prosélytisme religieux et la FIFA a pris soin de flouter le bandeau sur les photos officielles.
Comme beaucoup de Brésiliens, Neymar est très croyant. Mais aussi très généreux. En 2010, il reverse 10 % de son salaire à l'église protestante que fréquentent ses parents. Et depuis, c'est à l'or­ga­ni­sa­tion Athlètes du Christ qu'il verse de l'argent tous les mois. Sur Twitter, il se présente comme "fils de Dieu, du Père, heureux et auda­cieux". Et il n'hésite pas à sortir lors des soirs de victoires, comme en Ligue des champions en 2015 avec le Barça, le bandeau "100 % Jésus", qui a d'ailleurs fait polémique. Neymar fut accusé de prosélytisme religieux et la FIFA a pris soin de flouter le bandeau sur les photos officielles.
© PATRIK STOLLARZ AFP