Une liaison avec l'écrivaine Calixthe Beyala

© GINIES/SIPA
En 2011, Michel Drucker est condamné à verser 40 000 euros à la romancière Calixthe Beyala. Derrière cette affaire judiciaire, une liaison et une collaboration pour un livre qui ont mal tourné. En 2009, la romancière a expliqué dans une interview à "l'Express" sa version de l'histoire : en 2005, alors qu'ils avaient une liaison depuis plus de deux ans, Michel Drucker lui aurait proposé 200 000 euros pour rédiger à sa place un livre d'entretien entre l'animateur et le philosophe et écrivain Régis Debray. Après des mois de travail, Michel Drucker lui annonce que le livre ne verra jamais le jour, que leur relation prend fin. Elle n'est finalement pas payée. Calixthe Beyala décide alors de poursuivre l'animateur en justice, expliquant dans une interview : "désormais, ce n'est plus une question d'argent. C'est une question d'honneur". Elle a romancé cette histoire dans le livre "L'homme qui m'offrait le ciel", paru en 2007.
En 2011, Michel Drucker est condamné à verser 40 000 euros à la romancière Calixthe Beyala. Derrière cette affaire judiciaire, une liaison et une collaboration pour un livre qui ont mal tourné. En 2009, la romancière a expliqué dans une interview à "l'Express" sa version de l'histoire : en 2005, alors qu'ils avaient une liaison depuis plus de deux ans, Michel Drucker lui aurait proposé 200 000 euros pour rédiger à sa place un livre d'entretien entre l'animateur et le philosophe et écrivain Régis Debray. Après des mois de travail, Michel Drucker lui annonce que le livre ne verra jamais le jour, que leur relation prend fin. Elle n'est finalement pas payée. Calixthe Beyala décide alors de poursuivre l'animateur en justice, expliquant dans une interview : "désormais, ce n'est plus une question d'argent. C'est une question d'honneur". Elle a romancé cette histoire dans le livre "L'homme qui m'offrait le ciel", paru en 2007.
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