Frédéric Lopez était un enfant battu

© LEROUX PHILIPPE/SIPA
Pour le Figaro, Frédéric Lopez s'est mis à nu : "Je n'avais pas aimé mon enfance. Mon père était quelqu'un de très sévère, qui n'était pas capable d'affection et de compliment." Le conflit n'a fait qu'empirer, passant de remarques désobligeantes quand il était petit à des coups, pendant l'adolescence. "Quel bon à rien ce gosse ! est la phrase que j'ai le plus entendue." Dans son interview avec Nous deux, il avait également raconté "Un jour, entre nous, à 15 ans, la violence est encore montée d'un cran." Malgré la maltraitance subie, le fils a fini par pardonner son père, des années plus tard.
Pour le Figaro, Frédéric Lopez s'est mis à nu : "Je n'avais pas aimé mon enfance. Mon père était quelqu'un de très sévère, qui n'était pas capable d'affection et de compliment." Le conflit n'a fait qu'empirer, passant de remarques désobligeantes quand il était petit à des coups, pendant l'adolescence. "Quel bon à rien ce gosse ! est la phrase que j'ai le plus entendue." Dans son interview avec Nous deux, il avait également raconté "Un jour, entre nous, à 15 ans, la violence est encore montée d'un cran." Malgré la maltraitance subie, le fils a fini par pardonner son père, des années plus tard.
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