Laurence Boccolini fond en larmes dans "On n'est pas couché"

Eric Naulleau et Eric Zemmour lors des 25 ans de la chaîne Paris Première (2011) © DUPUY FLORENT/SIPA
En mars 2008, alors que Laurence Boccolini est l'invité de l'émission de Laurent Ruquier, On n'est pas couché, pour faire la promotion de son livre Puisque les cigognes ont perdu mon adresse sur son incapacité à avoir des enfants, l'animatrice se fait sévèrement critiquer par les deux polémistes de l'émission, Eric Naulleau et Eric Zemmour. "Toutes les semaines, il y a une célébrité qui vient nous exposer sa vie intime. On a l'impression que c'est une course à la célébrité qui nous racontera le plus hard [...]. Il n'y a plus de vie privée, plus de zone d'ombre. Ça m'a embarrassé. Vous en rajoutez tellement dans le pathos que je trouve ça de mauvais goût. J'ai été choqué", explique notamment Naulleau. Devant ces reproches que Boccolini trouve injustifiés, la journaliste ne peut retenir ses larmes."Ça m'a fait très mal, racontera-t-elle par la suite à TV Grandes Chaînes. Mais peut-être était-ce bien que les télé­spec­ta­teurs voient cette facette fragile de ma person­na­lité".
En mars 2008, alors que Laurence Boccolini est l'invité de l'émission de Laurent Ruquier, On n'est pas couché, pour faire la promotion de son livre Puisque les cigognes ont perdu mon adresse sur son incapacité à avoir des enfants, l'animatrice se fait sévèrement critiquer par les deux polémistes de l'émission, Eric Naulleau et Eric Zemmour. "Toutes les semaines, il y a une célébrité qui vient nous exposer sa vie intime. On a l'impression que c'est une course à la célébrité qui nous racontera le plus hard [...]. Il n'y a plus de vie privée, plus de zone d'ombre. Ça m'a embarrassé. Vous en rajoutez tellement dans le pathos que je trouve ça de mauvais goût. J'ai été choqué", explique notamment Naulleau. Devant ces reproches que Boccolini trouve injustifiés, la journaliste ne peut retenir ses larmes."Ça m'a fait très mal, racontera-t-elle par la suite à TV Grandes Chaînes. Mais peut-être était-ce bien que les télé­spec­ta­teurs voient cette facette fragile de ma person­na­lité".
© DUPUY FLORENT/SIPA