Le Maracanã (Rio de Janeiro) : un perroquet qui devient grand

Le Maracanã (Rio de Janeiro) : un perroquet qui devient grand
Le stade Maracanã de Rio accueille les matchs de plusieurs équipes locales et de la sélection brésilienne.  © Jacques Veylet

Saviez-vous que le Maracanã n'est qu'un surnom ? Quand il est sorti de terre, en 1950, le mythique stade carioca portait le nom d'Estadio Municipal. En 1964, il est devenu l'Estádio Jornalista Mário Filho, en l'honneur du journaliste brésilien du même nom (à l'origine de la construction du stade), décédé cette année-là.

Mais alors, qu'est-ce que signifie Maracanã ? L'origine de ce surnom se comprend comme une poupée russe. Le Maracanã était un perroquet vert de 30 centimètres vivant dans une rivière non loin de l'actuel stade. Cette rivière a pris le nom de Maracanã, puis ce fut au tour du quartier. Enfin, le quartier Maracanã a transmis son nom au stade.

Conclusion : c'est un petit animal qui a accouché d'un stade monumental, capable d'accueillir jusqu'à 200 000 places du temps où les sièges n'avaient pas envahi les tribunes ! C'était en 1950. Depuis, la capacité d'accueil s'est réduit à 90 000 places.

Saviez-vous que le Maracanã n'est qu'un surnom ? Quand il est sorti de terre, en 1950, le mythique stade carioca portait le nom d'Estadio Municipal. En 1964, il est devenu l'Estádio Jornalista Mário Filho, en l'honneur du journaliste brésilien du même nom (à l'origine de la construction du stade), décédé cette année-là. Mais alors, qu'est-ce que signifie Maracanã ? L'origine de ce surnom se comprend comme une poupée russe. Le Maracanã était un perroquet vert de 30 centimètres vivant dans une rivière non loin de l'actuel stade. Cette rivière a pris le nom de Maracanã, puis ce fut au tour du quartier. Enfin, le quartier Maracanã a transmis son nom au stade. Conclusion : c'est un petit animal qui a accouché d'un stade monumental, capable d'accueillir jusqu'à 200 000 places du temps où les sièges n'avaient pas envahi les tribunes ! C'était en 1950. Depuis, la capacité d'accueil s'est réduit à 90 000 places.
© Jacques Veylet