William Gallas

William Gallas est né le même jour que Thierry Henry. © L'Internaute Magazine / Jérémy Talbot

Le frère jumeau de Thierry Henry ?
Comme son partenaire en bleu, William Gallas est né le 17 août 1977 en région parisienne. Leur père est guadeloupéen et les deux joueurs ont été formés à l'INF Clairefontaine : ils faisaient partie de la même promotion et jouaient tous deux attaquants. Dernier détail : William Gallas est devenu capitaine d'Arsenal... après le départ de "Titi" Henry pour Barcelone.

Pauvre prof de maths...
A 13 ans, ses parents retournent vivre en Guadeloupe. Ils acceptent de laisser leur fils en métropole, lui qui veut aller à Clairefontaine. Quand il annonce cela à son professeur de maths, il est loin d'être emballé : "Footballeur ? Ce n'est pas un métier !"

Le porte-bonheur de Domenech
Avant de perdre face à l'Espagne, en février 2008, les Bleus n'avaient jamais connu la défaite sous l'ère Domenech avec William Gallas sur le terrain. La finale de la Coupe du monde de 2006, perdue face à l'Italie, s'est jouée aux tirs au but... Ça ne compte pas !

Le frère jumeau de Thierry Henry ?Comme son partenaire en bleu, William Gallas est né le 17 août 1977 en région parisienne. Leur père est guadeloupéen et les deux joueurs ont été formés à l'INF Clairefontaine : ils faisaient partie de la même promotion et jouaient tous deux attaquants. Dernier détail : William Gallas est devenu capitaine d'Arsenal... après le départ de "Titi" Henry pour Barcelone. Pauvre prof de maths...A 13 ans, ses parents retournent vivre en Guadeloupe. Ils acceptent de laisser leur fils en métropole, lui qui veut aller à Clairefontaine. Quand il annonce cela à son professeur de maths, il est loin d'être emballé : "Footballeur ? Ce n'est pas un métier !" Le porte-bonheur de DomenechAvant de perdre face à l'Espagne, en février 2008, les Bleus n'avaient jamais connu la défaite sous l'ère Domenech avec William Gallas sur le terrain. La finale de la Coupe du monde de 2006, perdue face à l'Italie, s'est jouée aux tirs au but... Ça ne compte pas !
© L'Internaute Magazine / Jérémy Talbot