L'antipatinage caché de Benetton (1994)

De forts soupçons ont pesé sur Benetton, sans preuves formelles. © THOMAS KIENZLE/AP/SIPA
En 1994, aucune aide électronique n'est autorisée dans les Formule 1, y compris l'antipatinage. Pourtant, de lourds soupçons pèsent sur l'écurie Benetton depuis le début de saison. Les formidables départs de Michael Schumacher témoignent peut-être de son talent, mais on entend beaucoup de dents grincer dans les paddocks, et les accusations de tricherie vont bon train. La FIA enquête et ne trouve aucune preuve à l'encontre de Benetton. Une société privée met en évidence l'existence d'un logiciel suspect dans l'électronique embarquée, sans obtenir de preuve décisive. L'écurie italienne ne sera donc pas pénalisée, ce qui n'empêchera pas de nombreux pilotes de continuer à douter.
En 1994, aucune aide électronique n'est autorisée dans les Formule 1, y compris l'antipatinage. Pourtant, de lourds soupçons pèsent sur l'écurie Benetton depuis le début de saison. Les formidables départs de Michael Schumacher témoignent peut-être de son talent, mais on entend beaucoup de dents grincer dans les paddocks, et les accusations de tricherie vont bon train. La FIA enquête et ne trouve aucune preuve à l'encontre de Benetton. Une société privée met en évidence l'existence d'un logiciel suspect dans l'électronique embarquée, sans obtenir de preuve décisive. L'écurie italienne ne sera donc pas pénalisée, ce qui n'empêchera pas de nombreux pilotes de continuer à douter.
© THOMAS KIENZLE/AP/SIPA