Un pauvre fou

Malgré l’enthousiasme d'André Malraux qui qualifie le Palais idéal de "seul représentant en architecture de l'art naïf", poussant ainsi la procédure pour son classement au titre des monuments historiques en 1969, les villageois ont longtemps considéré Ferdinand Cheval comme "un pauvre fou" et "un idiot qui remplit son jardin de pierres".
© Coll Palais Idéal