Le père de PNL, un "bandit" proche de Serge Dassault

Serge Dassault, maire de Corbeil-Essonnes de 1995 à 2009 © CHAMUSSY SIPA
Le père de Tarik et Nabil, René Andrieu, était très proche de Serge Dassault dans les années 1990, alors que ce dernier était maire de Corbeil-Essonnes (de 1995 à 2009 ndlr.). Dans les années 1980, celui que ses fils surnomment le "bandit" dans leurs chansons, avait été condamné pour des braquages. Il sort de prison en 1985. Figure du quartier des Tarterêts dans les années 90, il y a fondé l'association "Tarterêts 2000" qui vient en aide aux jeunes de la cité, en association avec le riche homme politique. En 2001, René Andrieu s'installe en Corrèze avec ses fils, pour des raisons qui demeurent obscures. À leur retour à Corbeil-Essonnes en 2009, le père de Tarik et Nabil recroise la route de l'homme d'affaires. La vidéo de la rencontre, filmée à l'insu de Serge Dassault, est diffusée sur Mediapart et fait grand bruit : René Andrieu réclame de l'argent. Le politique porte plainte contre lui pour "appels téléphoniques malveillants, tentative d'extorsion de fonds, chantage, menaces, recel et complicité de ces délits".
Le père de Tarik et Nabil, René Andrieu, était très proche de Serge Dassault dans les années 1990, alors que ce dernier était maire de Corbeil-Essonnes (de 1995 à 2009 ndlr.). Dans les années 1980, celui que ses fils surnomment le "bandit" dans leurs chansons, avait été condamné pour des braquages. Il sort de prison en 1985. Figure du quartier des Tarterêts dans les années 90, il y a fondé l'association "Tarterêts 2000" qui vient en aide aux jeunes de la cité, en association avec le riche homme politique. En 2001, René Andrieu s'installe en Corrèze avec ses fils, pour des raisons qui demeurent obscures. À leur retour à Corbeil-Essonnes en 2009, le père de Tarik et Nabil recroise la route de l'homme d'affaires. La vidéo de la rencontre, filmée à l'insu de Serge Dassault, est diffusée sur Mediapart et fait grand bruit : René Andrieu réclame de l'argent. Le politique porte plainte contre lui pour "appels téléphoniques malveillants, tentative d'extorsion de fonds, chantage, menaces, recel et complicité de ces délits".
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