Jeune, Franck Dubosc faisait croire aux passants qu'il était riche

Franck Dubosc en 2009 à Cannes pour l'avant-première de Bright Star © NIVIERE/NIKO/LYDIE/SIPA
Adolescent, Franck Dubosc était tellement obsédé par son milieu social modeste qu'il n'hésitait pas à s'inventer une vie et faire croire aux gens qu'il était riche : "J'al­lais dans la rue Jeanne d'Arc à Rouen, où il y avait de belles portes cochères comme j'en voyais dans les films, confiait-il à Fogiel dans Le Divan. Dès que l'une d'elles était ouverte, je rentrais. Le grand plai­sir n'était pas de rentrer, c'était de sortir. Je sortais négli­gem­ment comme si c'était chez moi, puis j'al­lais à une autre pour faire la même chose. Je me disais: 'Les gens qui me voient ont l'im­pres­sion que j'ha­bite là.' Faut être dingue!"
Adolescent, Franck Dubosc était tellement obsédé par son milieu social modeste qu'il n'hésitait pas à s'inventer une vie et faire croire aux gens qu'il était riche : "J'al­lais dans la rue Jeanne d'Arc à Rouen, où il y avait de belles portes cochères comme j'en voyais dans les films, confiait-il à Fogiel dans Le Divan. Dès que l'une d'elles était ouverte, je rentrais. Le grand plai­sir n'était pas de rentrer, c'était de sortir. Je sortais négli­gem­ment comme si c'était chez moi, puis j'al­lais à une autre pour faire la même chose. Je me disais: 'Les gens qui me voient ont l'im­pres­sion que j'ha­bite là.' Faut être dingue!"
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