Barry Lyndon : L'éclairage à la bougie

Barry Lyndon © REX FEATURES/SIPA
Encore une fois, la NASA a dû prêter main forte pour les besoins d'un tournage. Pour Barry Lyndon, Stanley Kubrick n'a pas eu besoin d'un avion mais d'une simple caméra. Ou, plus précisément, de lentilles adaptées qui n'étaient pas encore sur le marché. Les seules qui existaient avaient été fabriquées spécialement pour la NASA, selon Cinémathèque. En effet, le réalisateur avait choisi de tourner les scènes d'intérieur uniquement à la lueur des bougies, pour plus de réalisme. Néanmoins, les caméras qui existaient dans les années 1970 n'étaient pas capables de capturer une image propre et lumineuse avec des points d'éclairages aussi faibles. Heureusement que le programme spatial américain est conciliant !
Encore une fois, la NASA a dû prêter main forte pour les besoins d'un tournage. Pour Barry Lyndon, Stanley Kubrick n'a pas eu besoin d'un avion mais d'une simple caméra. Ou, plus précisément, de lentilles adaptées qui n'étaient pas encore sur le marché. Les seules qui existaient avaient été fabriquées spécialement pour la NASA, selon Cinémathèque. En effet, le réalisateur avait choisi de tourner les scènes d'intérieur uniquement à la lueur des bougies, pour plus de réalisme. Néanmoins, les caméras qui existaient dans les années 1970 n'étaient pas capables de capturer une image propre et lumineuse avec des points d'éclairages aussi faibles. Heureusement que le programme spatial américain est conciliant !
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