Le DDT pour prévenir le paludisme

La diffusion de DDT pour lutter contre la mouche tsétsé, au Botswana, en 1989. © Mint Images / Rex Featu / REX / SIPA
Connu sous le sigle DDT, le dichlorodiphényltrichloroéthane (si si !) est un insecticide. Si ce produit chimique a été synthétisé en 1874, il a fallu attendre 1939 pour que ses propriétés insecticides soient découvertes, par un chimiste suisse prénommé Paul Müller. Incolore et légèrement parfumé, le DDT fait partie des premiers insecticides modernes utilisés et a démontré une grande efficacité en tant qu'insecticide agricole mais aussi et surtout pour la lutte contre le paludisme (alias malaria) transmis par les moustiques. En 1948, Müller a reçu le prix Nobel de médecine pour cette découverte. Mais l'utilisation du DDT a fait polémique dès les années 60 et fut interdit officiellement en 1972, classé comme Polluant Organique Persistant (POP) et suspecté d'être cancérigène.
Connu sous le sigle DDT, le dichlorodiphényltrichloroéthane (si si !) est un insecticide. Si ce produit chimique a été synthétisé en 1874, il a fallu attendre 1939 pour que ses propriétés insecticides soient découvertes, par un chimiste suisse prénommé Paul Müller. Incolore et légèrement parfumé, le DDT fait partie des premiers insecticides modernes utilisés et a démontré une grande efficacité en tant qu'insecticide agricole mais aussi et surtout pour la lutte contre le paludisme (alias malaria) transmis par les moustiques. En 1948, Müller a reçu le prix Nobel de médecine pour cette découverte. Mais l'utilisation du DDT a fait polémique dès les années 60 et fut interdit officiellement en 1972, classé comme Polluant Organique Persistant (POP) et suspecté d'être cancérigène.
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