Chanter la Marseillaise

"Allegorie de la Republique" (ou "Marseillaise") par Fernand Leger (années 30). ©  ERL / SIPA
A l'armée et pendant son  service militaire, il n'était pas rare d'apprendre par cœur la Marseillaise et de l'entonner dans les moments critiques (les marches de nuit par exemple). Devenu hymne national le 14 juillet 1795 - à son adoption par la Convention - après avoir été un hymne militaire à la gloire de la Révolution, la Marseillaise a été mise en mot par l'officier du génie Claude-Joseph Rouget alias Rouget de Lisle, également compositeur, sur une commande du baron de Dietrich, riche industriel et maire de Strasbourg. Sa raison d'être ? Exhorter les soldats au combat. Au départ l'hymne s'intitulait d'ailleurs Chant de guerre pour l'armée du Rhin. Souvent controversée pour son côté sanguinaire, la Marseillaise reste un hymne guerrier unique.
A l'armée et pendant son  service militaire, il n'était pas rare d'apprendre par cœur la Marseillaise et de l'entonner dans les moments critiques (les marches de nuit par exemple). Devenu hymne national le 14 juillet 1795 - à son adoption par la Convention - après avoir été un hymne militaire à la gloire de la Révolution, la Marseillaise a été mise en mot par l'officier du génie Claude-Joseph Rouget alias Rouget de Lisle, également compositeur, sur une commande du baron de Dietrich, riche industriel et maire de Strasbourg. Sa raison d'être ? Exhorter les soldats au combat. Au départ l'hymne s'intitulait d'ailleurs Chant de guerre pour l'armée du Rhin. Souvent controversée pour son côté sanguinaire, la Marseillaise reste un hymne guerrier unique.
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