... dont les arts primitifs

Un masque japonais traditionnel. ©  PATRICK KOVARIK / AFP

Dans une conversation retranscrite dans "Ici, c'est Chirac", et citée par Le Figaro qui en a publié des extraits exclusifs, Jacques Chirac revient sur cette passion pour les arts premiers, qui aurait pu passer pour une distraction exotique sans importance : "Je suis resté profondément allergique à tout ce qui peut limiter l'intelligence et le désir de connaître". Celui a fondé le musée du quai Branly en 2006, un établissement dédié aux arts et civilisations d'Afrique, d'Asie, d'Océanie et des Amériques, ajoute dans le livre qui ausculte ses motivations profondes : "J'ai toujours été très attiré par les différentes expressions de l'art et de la volonté humaine. Et passionnément désireux de savoir ce qu'on faisait ailleurs, et comment. Cette curiosité de l'autre, de sa culture, de son histoire ne m'a jamais quitté".

Dans une conversation retranscrite dans "Ici, c'est Chirac", et citée par Le Figaro qui en a publié des extraits exclusifs, Jacques Chirac revient sur cette passion pour les arts premiers, qui aurait pu passer pour une distraction exotique sans importance : "Je suis resté profondément allergique à tout ce qui peut limiter l'intelligence et le désir de connaître". Celui a fondé le musée du quai Branly en 2006, un établissement dédié aux arts et civilisations d'Afrique, d'Asie, d'Océanie et des Amériques, ajoute dans le livre qui ausculte ses motivations profondes : "J'ai toujours été très attiré par les différentes expressions de l'art et de la volonté humaine. Et passionnément désireux de savoir ce qu'on faisait ailleurs, et comment. Cette curiosité de l'autre, de sa culture, de son histoire ne m'a jamais quitté".
©  PATRICK KOVARIK / AFP