Simone Veil, alias "Poussinette"

" 'Poussinette', c'est le surnom qu'il lui avait donné" (ici, Simone Veil et Jacques Chirac en 2009) © FACELLY / SIPA
Dans son décryptage du rapport aux femmes de Jacques Chirac, l'auteur commence par l'"exception" Simone Veil :
"Un rai de lumière vient irradier une photographie posée sur la cheminée du bureau du président. Une petite photo en noir et blanc sertie d'un cadre argenté (...). Côte à côte, Jacques Chirac et Simone Veil, la seule femme à avoir rejoint son panthéon, dans son bureau-musée. (...). Pendant la campagne de 1995, elle a rejoint le camp des balladuriens et n'a pas toujours eu des mots aimables à son endroit. Qu'importe... Il lui a pardonné. "Poussinette", c'est le surnom qu'il lui avait donné, à celle qui allait changer la destinée de millions de femmes. Simone Veil, une femme qu'il admire pour son caractère, sa douceur et son courage. (...) revenue de l'enfer. Elle fut l'une des rares rescapés du camp d'Auschwitz-Birkenau. Sur le cliché, on dirait que Jacques Chirac veille sur elle comme un grand frère, parce que Simone Veil ne fait pas partie de celles qu'il a voulu posséder. Elle est comme une icône nimbée d'une pureté ressourçante."
Dans son décryptage du rapport aux femmes de Jacques Chirac, l'auteur commence par l'"exception" Simone Veil : "Un rai de lumière vient irradier une photographie posée sur la cheminée du bureau du président. Une petite photo en noir et blanc sertie d'un cadre argenté (...). Côte à côte, Jacques Chirac et Simone Veil, la seule femme à avoir rejoint son panthéon, dans son bureau-musée. (...). Pendant la campagne de 1995, elle a rejoint le camp des balladuriens et n'a pas toujours eu des mots aimables à son endroit. Qu'importe... Il lui a pardonné. "Poussinette", c'est le surnom qu'il lui avait donné, à celle qui allait changer la destinée de millions de femmes. Simone Veil, une femme qu'il admire pour son caractère, sa douceur et son courage. (...) revenue de l'enfer. Elle fut l'une des rares rescapés du camp d'Auschwitz-Birkenau. Sur le cliché, on dirait que Jacques Chirac veille sur elle comme un grand frère, parce que Simone Veil ne fait pas partie de celles qu'il a voulu posséder. Elle est comme une icône nimbée d'une pureté ressourçante."
© FACELLY / SIPA