Deux drames ont marqué son adolescence

"La vie ne vaut pas la peine d'être vécue." dit le mot laissé par son frère. © FOTEK / 123RF
Son père est mort d'un cancer peu après avoir été éconduit par sa mère, quand Nicolas Hulot avait à peine 15 ans. Mais un autre drame a aussi marqué son adolescence : le suicide de son frère Gonzague, atteint d'une maladie neurologique, quand Nicolas Hulot avait 19 ans. C'est lui qui découvrira le corps de l'aîné de la fratrie le soir de Noël, raconte L'Express, en descendant chercher des chaises supplémentaires à la cave, alors que ce même frère est censé être en voyage depuis 3 mois. Cette "immonde nuit de Noël", confie Nicolas Hulot dans "Les Chemins de traverse" (Lattès), sa soeur, un oncle et lui ont réveillonné comme si de rien n'était pour préserver la mère, lui annonçant la terrible nouvelle le lendemain. "La vie ne vaut pas la peine d'être vécue", a laissé comme unique mot d'adieu Gonzague Hulot.
Son père est mort d'un cancer peu après avoir été éconduit par sa mère, quand Nicolas Hulot avait à peine 15 ans. Mais un autre drame a aussi marqué son adolescence : le suicide de son frère Gonzague, atteint d'une maladie neurologique, quand Nicolas Hulot avait 19 ans. C'est lui qui découvrira le corps de l'aîné de la fratrie le soir de Noël, raconte L'Express, en descendant chercher des chaises supplémentaires à la cave, alors que ce même frère est censé être en voyage depuis 3 mois. Cette "immonde nuit de Noël", confie Nicolas Hulot dans "Les Chemins de traverse" (Lattès), sa soeur, un oncle et lui ont réveillonné comme si de rien n'était pour préserver la mère, lui annonçant la terrible nouvelle le lendemain. "La vie ne vaut pas la peine d'être vécue", a laissé comme unique mot d'adieu Gonzague Hulot.
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