Lee Myung-bak

Employé dans le secteur automobile © UN Photo/Evan Schneider

Employé puis patron de Hyundai

Le président sud-coréen Lee Myung-bak est connu pour son passé d'étudiant contestataire. En 1964, alors qu'il mène la fronde contre les nouvelles relations entre la Corée et le Japon, il serait même allé jusqu'à s'enduire de soju (un alcool traditionnel) en menaçant de s'immoler pour protester contre une "invasion" des viandes japonaises dans les supermarchés. A sa sortie de l'Université en 1965, il est engagé par la firme Hyundai Construction qui n'est encore qu'une PME. Il y décroche la construction d'une des plus grandes autoroutes de Thaïlande. Chargé ensuite d'une usine à Séoul, il acquiert progressivement le surnom de "bulldozer" pour sa pugnacité. Il aurait un jour démonté entièrement une machine pour comprendre une panne. Son parcours lui permettra de diriger la firme automobile et de construction de 1988 à 1992.

Employé puis patron de Hyundai Le président sud-coréen Lee Myung-bak est connu pour son passé d'étudiant contestataire. En 1964, alors qu'il mène la fronde contre les nouvelles relations entre la Corée et le Japon, il serait même allé jusqu'à s'enduire de soju (un alcool traditionnel) en menaçant de s'immoler pour protester contre une "invasion" des viandes japonaises dans les supermarchés. A sa sortie de l'Université en 1965, il est engagé par la firme Hyundai Construction qui n'est encore qu'une PME. Il y décroche la construction d'une des plus grandes autoroutes de Thaïlande. Chargé ensuite d'une usine à Séoul, il acquiert progressivement le surnom de "bulldozer" pour sa pugnacité. Il aurait un jour démonté entièrement une machine pour comprendre une panne. Son parcours lui permettra de diriger la firme automobile et de construction de 1988 à 1992.
© UN Photo/Evan Schneider