13 octobre 2009 : l'affaire de l'Epad

Jean Sarkozy, le fils cadet du président de la République, a voulu prendre la présidence de l'Epad en octobre 2009. © Thierry Plessis
Polémique. Méconnu en 2007, Jean Sarkozy est devenu un personnage politique à part entière pendant le quinquennat de son père. En 2008, il s'illustre lors des municipales puis devient Conseiller général des Hauts de Seine quelques jours plus tard. Mais c'est sa candidature à la présidence de l'Epad, l'établissement public de la Défense, qui aura le plus fait jaser. L'établissement gère le quartier d'affaires le plus important de France. Il doit alors échoir à un membre du Conseil général, le président de l'époque, Patrick Devedjian, ayant atteint la limite d'âge. L'annonce de la candidature de Jean Sarkozy est immédiatement interprétée comme le fait du prince. Devant le tollé, il renoncera finalement à cette ambition, mais deviendra tout de même administrateur de l'Epad... Le poste, lui, est revenu à Joëlle Ceccaldi-Raynaud, députée-maire UMP de Puteaux.
Polémique. Méconnu en 2007, Jean Sarkozy est devenu un personnage politique à part entière pendant le quinquennat de son père. En 2008, il s'illustre lors des municipales puis devient Conseiller général des Hauts de Seine quelques jours plus tard. Mais c'est sa candidature à la présidence de l'Epad, l'établissement public de la Défense, qui aura le plus fait jaser. L'établissement gère le quartier d'affaires le plus important de France. Il doit alors échoir à un membre du Conseil général, le président de l'époque, Patrick Devedjian, ayant atteint la limite d'âge. L'annonce de la candidature de Jean Sarkozy est immédiatement interprétée comme le fait du prince. Devant le tollé, il renoncera finalement à cette ambition, mais deviendra tout de même administrateur de l'Epad... Le poste, lui, est revenu à Joëlle Ceccaldi-Raynaud, députée-maire UMP de Puteaux.
© Thierry Plessis