Frank Abagnale Jr. : le vrai héros de Catch me if you can

La ressemblance avec Leonardo di Caprio, qui joua son rôle, n'est pas flagrante © LUCY NICHOLSON / AP / SIPA
Le film de Steven Spielberg "Catch me if you can" ("Arrête-moi si tu peux"), sorti en 2002, était inspiré du destin réel de Frank Abagnale Jr (né en 1948 près de New York). A 15 ans, le jeune homme multiplie les chèques en bois. Puis il se constitue tour à tour huit identités différentes : il se fait passer pour un pilote de la Pan-Am au repos pour faire le tour du monde à bord des avions de la compagnie, un agent de sécurité pour voler des chèques, un pédiatre hospitalier pour se faire de l'argent en Géorgie (il quitte le job par peur de tuer quelqu'un) ou encore un avocat tout juste sorti d'Harvard. Capturé en 1969, alors qu'il traverse l'Atlantique dans un vol Air France, il fut libéré en cinq ans plus tard après avoir promis d'aider gratuitement les autorités américaines à démasquer d'autres imposteurs. Abagnale donne aujourd'hui des cours aux agents du FBI et dirige un cabinet de conseil spécialisée dans la protection contre la fraude.
Le film de Steven Spielberg "Catch me if you can" ("Arrête-moi si tu peux"), sorti en 2002, était inspiré du destin réel de Frank Abagnale Jr (né en 1948 près de New York). A 15 ans, le jeune homme multiplie les chèques en bois. Puis il se constitue tour à tour huit identités différentes : il se fait passer pour un pilote de la Pan-Am au repos pour faire le tour du monde à bord des avions de la compagnie, un agent de sécurité pour voler des chèques, un pédiatre hospitalier pour se faire de l'argent en Géorgie (il quitte le job par peur de tuer quelqu'un) ou encore un avocat tout juste sorti d'Harvard. Capturé en 1969, alors qu'il traverse l'Atlantique dans un vol Air France, il fut libéré en cinq ans plus tard après avoir promis d'aider gratuitement les autorités américaines à démasquer d'autres imposteurs. Abagnale donne aujourd'hui des cours aux agents du FBI et dirige un cabinet de conseil spécialisée dans la protection contre la fraude.
© LUCY NICHOLSON / AP / SIPA