Hirson (02500), Aisne

Jamais connu une ville aussi misérable : le racket et la violence au collège faisaient parti du quotidien. Les bandes se promenaient et faisaient régner la terreur. On se demandait en sortant sur qui on allait tomber. Je suis bien content d'être parti

Je suis né et j'ai vécu à HIRSON jusqu'à l'âge de 11 ans, j'en ais gardé de bons souvenirs,les crues de la riviére,la foire agricole place sarrail,le parc que l'on appelez "les gradins" avec ses jeux mais tout cela est bien du passé car je ne reconnais plus cette ville qui est morte.

Petite ville où il faisait y bon vivre jusque dans les seventies ,Hirson n'est plus aujourd'hui que l'ombre d'elle-même !
Les entreprises sont parties laissant derrière elles un cortège de misère qui s'est installé au fil des années sans que les pouvoirs publics ne sachent inverser la tendance!
Incompétence,manque de réalisme,peu d'imagination et aucune vision pour l'avenir ,une énergie inappropriée et décalée voilà le cocktail détonnant d'un crépuscule annoncé !
Des impôts exorbitants payés par de moins en moins de personnes ....l'immobilier qui s'effondre!
Hormis les balade en forêts ,la découverte d'une Thierache verdoyante en été ou une escapade en Belgique toute proche , je ne vois pas grand-chose à vous proposer .
Yéti

Ville où il fait bon vivre. On peut y pratiquer beaucoup de sports, étudier beaucoup d'instruments de musique. beaucoup de spectacles de qualité par le biais des transfrontalières. Il y a de nombreux commerces, un centre aquatique, avec bowling un super cinéma avec trois salles, une base de loisirs avec restaurant. Ceux qui dénigrent, qui critiquent ne s'intéressent à rien. Dans les commentaires il y a des détracteurs de l'équipe municipale.

Une ville qui ne cesse de décliner, mais qui pourtant pourrait être d'une grande beauté avec ses 3 cours d'eau qui la traversent, son stade en plein centre-ville bordé par une rivière et un parc en terrasse, la vieille ville nichée sur une presqu'ile, sa forêt qui vient s'inviter au pied du lycée, la cascade de Blangy... sans parler des alentours, sa proximité avec la Wallonie et les contreforts ardennais... Difficile de comprendre comment une ville avec un tel potentiel puisse continuer de décliner.

Grandeur et Décadence : Ville triste et saleberceaux du ferroviaire, deuxième gare de fret du nord au début du 20éme siècle, nombreuses industries disparues maintenant. Ce que j'aime à Hirson : La nature environnante, pas d'industrie pas de pollution cela est-il un bien ? Je suis né ici comme nombres de mes ancêtres, retraité je regarde parti nos enfants avec l?espoir un peu fou d'un hypothétique renouveau de cette cité. Ce que je n'aime pas à Hirson : Plus de centre ville, des commerces morts ou moribonds depuis bien longtemps. Un lycée correcte mais plus de travail pour nos jeunes. Ville vieillissante, plus de maternité, hôpital en berne, que reste t-il ? Des impôts.

Une machine à remonter le temps... : Hirson... Entrer dans cette ville, c'est comme retourner dans la france des années 50... En pire : une ville dégoutante... Une ville ultra pauvre. Ce que j'aime à Hirson : Les friches industrielles à l'entrée de la ville et l'architecture des maisons ouvrières et anciens bâtiments industriels dans la ville, symbole d'un passé prospère. Ce que je n'aime pas à Hirson : Après 18h, c'est le couvre feu, il n'y a plus rien à voir. Conclusion : bon courage au gens d'Hirson pour dynamiser la ville ; sinon elle sombrera encore plus.

La ville en ruine : Hirson il n'y a pas si longtemps, en 2008, comptait 10 800 habitants environ, en 2010, donc 2 ans après, 9 900. Voyez vous-même et posez-vous la question. Ce que j'aime à Hirson : Plus rien, car il n'y a plus rien. Ce que je n'aime pas à Hirson : La politique menée depuis des années par la ville, c'est une catastrophe.

Plus rien à y faire : Ville à l'abandon total, plus d'industrie et des impôts à foison, rien à 50 km aux alentours, bref à fuir très vite surtout quand on est jeune. Ce que j'aime à Hirson : Rien. Ce que je n'aime pas à Hirson : Le temps.

Diaspora hirsonnaise : C'est une ville morte, un truc pour trouver du travail : partir. Ce que j'aime à Hirson : La nature, la proximité avec la Belgique. Ce que je n'aime pas à Hirson : Plus de travail.