Qui est Olivier Minne, le très secret animateur de Fort Boyard ?

Naviguez au clavier

Précédent Suivant
Il assume sa bisexualité
© SOULOY FREDERIC/SIPA
Les téléspectateurs de Fort Boyard ne le savent peut-être pas, mais Olivier Minne a indiqué en 2014 être bisexuel, lors d'une interview accordée au magazine Nous Deux. Par la suite, le présentateur a expliqué ne pas regretter d'avoir faire son coming out. "J'ai eu des dizaines de témoignages de jeunes qui se posaient eux-mêmes des questions sur leur sexualité. Cela m'a beaucoup ému." Dans un récent portrait du journal Libération, Olivier Minne expliquait avoir été affecté par les débats sur le mariage pour tous. "Comme on dit, 'rien de tel qu'une bonne inondation pour faire remonter des égouts toute la merde'. Donc, face à ce ressentiment épouvantable, je me suis dit qu'il fallait que je parle […] 'Toujours plus loin, toujours plus haut, toujours plus fort', ce n'est pas anodin, ce n'est pas un artifice : cela veut dire qu'il ne faut jamais baisser les bras et ne pas lâcher." Dans les Grandes Gueules de RMC, il se décrit comme "Hétéro et homo... Hétéromo."
Les téléspectateurs de Fort Boyard ne le savent peut-être pas, mais Olivier Minne a indiqué en 2014 être bisexuel, lors d'une interview accordée au magazine Nous Deux. Par la suite, le présentateur a expliqué ne pas regretter d'avoir faire son coming out. "J'ai eu des dizaines de témoignages de jeunes qui se posaient eux-mêmes des questions sur leur sexualité. Cela m'a beaucoup ému." Dans un récent portrait du journal Libération, Olivier Minne expliquait avoir été affecté par les débats sur le mariage pour tous. "Comme on dit, 'rien de tel qu'une bonne inondation pour faire remonter des égouts toute la merde'. Donc, face à ce ressentiment épouvantable, je me suis dit qu'il fallait que je parle […] 'Toujours plus loin, toujours plus haut, toujours plus fort', ce n'est pas anodin, ce n'est pas un artifice : cela veut dire qu'il ne faut jamais baisser les bras et ne pas lâcher." Dans les Grandes Gueules de RMC, il se décrit comme "Hétéro et homo... Hétéromo."
© SOULOY FREDERIC/SIPA